Pas envie d’écrire…
Non, je n’ai pas envie d’écrire. Pas envie de féliciter Djokobite. Pas envie non plus d’insulter Boris Becker, le coach le plus con et le plus détestable du circuit. Le mec à qui je pourrais filer des baffes 24 heures sur 24. Le gars qui prend 10 ans tous les 6 mois. Pas envie de dire «mais si Federer avait gagné le premier set», «mais s’il avait signé le break en premier au troisième», «mais si Anderson avait battu Djoko», «mais si ma mère en avait deux, ben ce serait mon père» et blablabla et bliblibli…
Non, là, j’ai juste envie de dire merde merde et re-merde. Fuck, fuck et re-fuck. Je n’ai pas envie d’être drôle. Pas envie de boire. Pas envie de reluquer un cul. C’est juste chiant le sport quand on est passionné et tellement déçu à la fin. Comme toi, je le voulais plus que tout ce 18ème Majeur. J’y croyais d’ailleurs dur comme bite, pardon, dur comme fer. J’avais vu l’un des plus beaux Roger Federer de tous les temps vendredi. Dimanche j’ai à peine aperçu son fantôme. Ou alors le coton-tige était trop fort. Je n’en sais rien. Je m’en fous.
Allez, il y a des choses bien plus importantes que le sport dans la vie. L’amitié. La famille. Les bouffes entre potes. Les dimanches à la piscine. Les balades au bord du lac. Les brunchs. Les grillades. Le ski. Le jogging. Le cinéma. La pêche. Le yoga. La lecture. Bref, plein de trucs qui ne t’offriront jamais des émotions comme un match de tennis.
Mais certains ne comprennent pas, comme mon pote qui m’a lancé aujourd’hui : «ça va changer ta vie si Rodgeur gagne un 18ème tournoi du Grand Chelem ?» Non, ça ne va pas la changer connard, mais mon Dieu que ça aurait été beau de pouvoir vivre ça aujourd’hui. J’emmerde les cons qui ne comprennent rien au sport, qui ne comprennent pas pourquoi et comment on peut chialer – de joie ou de tristesse – pour un événement sportif.
Aujourd’hui, le plus grand tennisman de tous les temps a perdu contre le sosie de Joe Dalton. Contre un mec qui donne autant de rêve qu’une cannette d’Heineken vide. Alors je suis dégoûté, dépité, frustré, triste. Il n’y aura peut-être jamais de 8ème Wimbledon et donc jamais de 18ème Grand Chelem pour notre Rodgeur national. C’est comme ça, il faut l’accepter. C’est le sport. C’est la vie.
A part ça, je vais très bien. Merci.
Non, là, j’ai juste envie de dire merde merde et re-merde. Fuck, fuck et re-fuck. Je n’ai pas envie d’être drôle. Pas envie de boire. Pas envie de reluquer un cul. C’est juste chiant le sport quand on est passionné et tellement déçu à la fin. Comme toi, je le voulais plus que tout ce 18ème Majeur. J’y croyais d’ailleurs dur comme bite, pardon, dur comme fer. J’avais vu l’un des plus beaux Roger Federer de tous les temps vendredi. Dimanche j’ai à peine aperçu son fantôme. Ou alors le coton-tige était trop fort. Je n’en sais rien. Je m’en fous.
Allez, il y a des choses bien plus importantes que le sport dans la vie. L’amitié. La famille. Les bouffes entre potes. Les dimanches à la piscine. Les balades au bord du lac. Les brunchs. Les grillades. Le ski. Le jogging. Le cinéma. La pêche. Le yoga. La lecture. Bref, plein de trucs qui ne t’offriront jamais des émotions comme un match de tennis.
Mais certains ne comprennent pas, comme mon pote qui m’a lancé aujourd’hui : «ça va changer ta vie si Rodgeur gagne un 18ème tournoi du Grand Chelem ?» Non, ça ne va pas la changer connard, mais mon Dieu que ça aurait été beau de pouvoir vivre ça aujourd’hui. J’emmerde les cons qui ne comprennent rien au sport, qui ne comprennent pas pourquoi et comment on peut chialer – de joie ou de tristesse – pour un événement sportif.
Aujourd’hui, le plus grand tennisman de tous les temps a perdu contre le sosie de Joe Dalton. Contre un mec qui donne autant de rêve qu’une cannette d’Heineken vide. Alors je suis dégoûté, dépité, frustré, triste. Il n’y aura peut-être jamais de 8ème Wimbledon et donc jamais de 18ème Grand Chelem pour notre Rodgeur national. C’est comme ça, il faut l’accepter. C’est le sport. C’est la vie.
A part ça, je vais très bien. Merci.